La Vie Dissolue D’Une Bigote 1 La Découverte Du Plaisir

La découverte du plaisir

Depuis quelques temps, je vis chez ma copine, enfin, plutôt chez ses parents, où nous avons notre espace aménagé à l’entresol de la maison avec chambre et salle d’eau. Pour les repas, nous retrouvons les parents à l’étage.
La maison est en fait occupée seulement par ma « belle-mère », car son mari, après une période de chambre à part, fait carrément maison à part dans sa ferme, sous le prétexte de surveiller ses bêtes. Il ne vient que pour les repas et encore pas souvent le soir. Il faut dire qu’ainsi, il ne se gêne pas trop pour voir ses maîtresses. Tout le monde dans le village connaît la situation, certains en rient, mais « chez ces gens là on ne cause pas de ces choses là ». Du moment que l’on ressemble à une famille unie…
J'ai trente ans et je suis dans une période où mes activités ne sont pas permanentes, aussi je me lève parfois tard, j’aide un peu ma belle-mère à préparer le repas, ou mon beau-père comme chauffeur. Tout le monde s’accommode de la situation. Ma copine, qui peut ainsi m’avoir avec elle, moi qui n’ai ainsi de compte à rendre à personne et ma belle-mère qui ne se retrouve pas seule le soir dans cette grande maison, assez isolée derrière de grandes haies de thuya. Elle dit d’ailleurs que ma présence la rassure.
Ma – presque - belle-mère est issue d'une grande famille et a gardé un comportement plutôt hautain, malgré un mariage relativement modeste, mais noble. Cela lui permet de faire partie de cette petite noblesse et de se croire un peu « au dessus » des autres. De ce fait, elle est crainte de tout le monde et n'est aimée de personne. Elle ne cherche pas non plus le contact avec les gens malgré son travail de secrétaire d'entreprise. Son ton de parole est sec et elle sourit rarement. Pour ma part j'ai des relations disons cordiales avec elle, bien que ma relation avec sa fille aînée soit pour elle « contre nature » du fait de la différence d'âge - sa fille à 12 ans de moins que moi - et de culture : je suis protestant et sa famille catholique pratiquante est limite intégriste.


Cet été là, il fait particulièrement chaud et la nuit, il m’arrive de monter rapidement à la cuisine pour boire de l’eau ou du lait frais de la ferme. Je suis nu, comme je dors, mon passage ne durant finalement que quelques secondes dans le silence de la maison endormie. Au milieu de la nuit, je suis donc en train de savourer mon verre de lait, lorsque la lumière s’allume d’un coup. Me retournant, je me trouve face à Geneviève de Brassac, ma belle-mère !
« Eh bien ! Il ne faut pas vous gêner ! Lance-t-elle en me toisant de haut en bas. Je me rends compte alors vraiment de ma nudité. Je ne sais plus où me mettre. Confus, je pose mon verre sur la table et me cache le sexe de la main.
Je… Excusez-moi, je … ne pensais pas vous avoir réveillée !» balbutie-je, alors qu’elle s’approche de moi l’air menaçant. Sans que je m’y attende, elle écarte brutalement ma main avec la sienne.
« Inutile de cacher ça maintenant. J’en ai vu d’autres ! » Dans le mouvement, sa main att ma verge et son peignoir qu’elle a lâché, s’entrouvre laissant apparaître sa poitrine et son ventre. Aussitôt je me mets à bander. « Non mais ! En plus je vous fais de l’effet ! Espèce de malotru !» Ajoute-t-elle sans retirer sa main, qui au contraire, empoigne bien ma raideur.
Pardon… mais… votre main et … ce que je vois dans votre peignoir, provoquent une réaction… normale pour un homme ! Je suis désolé ..! Excusez-moi !
Ne soyez pas désolé ! Il y a longtemps qu’un homme ne s’est pas comporté de façon … « normale » avec moi !»
Je n’en reviens pas ! Non seulement ma belle-mère n’a plus l’air en colère mais elle apprécie que je mate sa poitrine. Elle me tient toujours par le sexe et même maintenant le caresse et le regarde !
Voyant cela, je détache la ceinture et att le col de son peignoir, j’écarte complètement le vêtement sans que Geneviève ne proteste. C'est ainsi que je découvre entièrement sa lourde poitrine qui souvent par le passé, je dois le dire, me faisait fantasmer.
Ses seins, certes un peu tombants vu leur taille – j’apprendrai plus tard qu’elle fait du 100D -, sont agrémentés de tétons énormes, gros comme une phalange de petit doigt au milieu d’une large aréole brune. Je les saisis entre mes doigts, triturant les bouts dardés et bien durs. Sous cette action, ma belle-mère ne se contrôle plus, sa main maintenant, me branle franchement. Je comprends déjà, que ses gros tétons érectiles, sont la clé de son plaisir.
Je la débarrasse complètement de son peignoir sans qu’elle ne s’y oppose. La voilà complètement nue face à moi et ma foi elle est beaucoup plus agréable à regarder nue, que habillée comme d’habitude ! Ses formes rondes et galbées ainsi dévoilées sont attrayantes. Elle a les hanches larges d’une femme mature ayant eu quatre s mais sa taille malgré un petit ventre arrondi, reste étroite, lui donnant une belle silhouette Je la découvre sous un jour nouveau qui me la rend aussitôt plus sympathique ! Sa main reprend aussitôt possession de mon sexe. Je la pousse contre la table, lui relève une jambe qu'elle pose dessus et, guidé par sa main, je la pénètre sans effort, tellement elle mouille.
Bien agrippé à ses seins, je la baise brutalement et elle a l’air d’aimer cela. La femelle qu’elle est devenue, se pâme rapidement. Je sens sur ma bite, la contraction de son vagin. Je continue à la besogner. Ça clapote fort sous mes coups de boutoir, Geneviève bascule d’abord sa tête en arrière, puis elle s’agrippe à mon cou, me roulant une pelle qui atténue ses râles. Alors que je me lâche en elle, elle jouit une nouvelle fois. Je n’en reviens pas de voir ma belle-mère se comporter ainsi ! Elle si prude, si « BCBG », si « grenouille de bénitier », se comporte comme la dernière des salopes. Il faut dire qu’elle est sacrément en manque, la vieille ! Cela doit bien faire dix ans qu’elle n’a pas pris de queue dans sa chatte. Je ne sais pas si son mari connaît ses talents de baiseuse, ni sa faculté de jouissance, mais il pourrait s’en occuper sérieusement.
Il est vrai qu’après lui avoir fait quatre s en rafale ….
Geneviève reste étalée sur la table et m'enserre de ses jambes autour de la taille. A peine remise, elle murmure « encore ! » Toujours fiché en elle je n'ai pas débandé. Je la saisis sous les cuisses et reprends mon coït. Couchée sur la table, elle agite sa tête de droite à gauche, agrippe ses seins qu'elle malaxe et triture ses tétons. Ma « presque » belle-mère prend un pied terrible ! Je ne compte plus ses jouissances avant de me répandre à nouveau au fond de sa chatte liquoreuse bien serrée quand elle jouit.
Ses jambes m'ont lâché. Je me retire, glisse à genoux et plonge mon visage sur son sexe. Je trouve un gros bouton au milieu de la forêt de poils pubiens. Mes lèvres s'en emparent et ma langue le titille. Geneviève tente bien de repousser ma tête mais bien agrippé à ses hanches, je reste plaqué à son bas ventre. Mon visage baigne dans ses fluides odorants. Geneviève sent bon et je me régale de son jus intime.
Alors que je m'abreuve de ses sucs, ma langue butine son clitoris particulièrement sensible. Deux doigts dans sa chatte trempent dans un chaud liquide onctueux. Malgré ses quatre grossesses, son vagin est resté souple et serré. Elle râle, grogne, coule encore, mais son corps, lui, ne répond plus. Mes caresses l'ont « achevée »
Je la laisse récupérer et je me redresse. Je me repais encore du spectacle de ma belle-mère étalée nue sur la table de sa cuisine, les jambes pendantes et écartées exposant sa toison intime et son sexe entrouvert dans une position obscène. Elle cache son visage sous un bras dévoilant son aisselle poilue. Peu de monde pour ne pas dire personne, n'a jamais dû la voir dans cet état et dans cette posture.
Sans dire un mot, je me retire et regagne ma chambre. Je passe par la salle d’eau pour me laver discrètement et enlever l’odeur dont elle m’a imprégné le visage et le ventre pendant mon léchage et notre baise sauvage. Avec la chaleur ambiante, nous transpirions fort tous les deux.
Je ne voudrais pas que ma copine sente quelque chose.
Je me glisse doucement dans le lit en restant le plus loin possible de ma compagne. J’ai du mal à m’endormir après cet épisode. Je viens quand même de baiser ma presque « belle-mère » Ce n’est pas ment que ça me préoccupe, car avant de baiser sa fille aînée, j’ai aussi baisé la sœur plus jeune. De plus, elle n’est pas officiellement ma belle-mère, mais tout de même. En fait c’est la première fois que je baise une femme bien plus âgée que moi ! Nous avons quinze ans d’écart. D’accord. C'est vrai. Je n’ai pas beaucoup de morale ! Mais franchement, je ne refuse jamais la proposition d’une femme.
Certes, depuis que je suis avec ma copine, je me refuse à avoir des rapports avec sa sœur. Celle-ci, parfois, me relance les soirs où elle se sent seule. Maintenant, je dois dire que je fais des efforts, la salope étant une « chaudasse » avec laquelle je m'éclatais bien.
Pourtant, on s'entendait bien pour baiser. Une vraie nymphomane ! Autant l’un que l’autre nous ne nous gênions pas pour courir à droite et à gauche, vers d’autres partenaires, aucun des deux n’y voyant d’inconvénient.
Finalement, après ce que je viens de vivre, la moins gourmande des trois est celle qui dort en ce moment à mes côtés. Sa mère, m’a tout de même pris le sexe en main, avant que je ne la touche ! Elle s’est donnée à moi, nue sur la table de sa cuisine !
Le comble est que en pensant à tout cela, je bande à nouveau comme un fou. La vision des énormes tétons sur la lourde poitrine de Geneviève, m’obsède.
Je fini tout de même par m’endormir malgré la chaleur et les idées lubriques. Le matin, je sens ma copine se lever pour partir au travail. Je feins un profond sommeil. Elle m’embrasse et s’en va me murmurant « dors bien »
Quelques minutes après, j’entends ma belle-mère se lever à l’étage. Elle qui est toujours levée de bonne heure, a aussi attendu le départ de sa fille ne voulant sûrement pas la croiser comme chaque matin au petit déjeuner. Je me lève alors, enfile un jogging et un tee-shirt et je monte à la cuisine.
J’y trouve Geneviève attablée. Elle porte toujours son peignoir et ne lève pas la tête à mon arrivée. Je lui lance un « bonjour » et en passant derrière elle, je dépose rapidement un baiser dans son cou. Elle se raidit mais ne manifeste rien, ne proteste pas. Je m’installe en face d’elle comme d’habitude et prends mon petit déjeuner sans un mot. Je l’observe à la dérobée, sentant parfois qu’elle voudrait parler, mais aucun mot ne sort de sa bouche. Volontairement, je ne cherche pas à alimenter la conversation et je ne romps pas le lourd silence qui s’est installé.
Je termine de déjeuner, je range bol et couverts dans le lave-vaisselle et je m’apprête à partir. Alors que je passe derrière sa chaise, elle se décide enfin :
« Jean…Il faut qu’on parle !
Mais bien sûr ! Je vous écoute » Je reste derrière son siège.
On … Nous ne… pouvons… pas... continuer… comme cela ! Vous comprenez ?... Ce n’est pas… convenable ! Ce n’est pas raisonnable ! Ce n’est pas possible ! Est-ce que vous vous rendez compte de ce que nous avons fait ? » De ma position au dessus d’elle, j'ai une vue plongeante dans l'ouverture de son peignoir où je vois le haut de sa poitrine avec le profond sillon qui sépare les gros seins. Je me penche par-dessus elle, passe mes mains à l'intérieur du vêtement, empaume ses seins et mes doigts s’emparent des tétons, encore bien raides. Elle geint mais se laisse peloter - « Il ne faut pas … Non !... S’il vous plaît ! » Bien sûr je n’arrête pas. Je sens qu’elle n’a pas non plus vraiment envie que j’obéisse. Sans le savoir, elle est déjà soumise à ses désirs. Ses paroles sont un dernier baroud d’honneur de sa conscience, elle ne pense pas ce qu’elle dit.
« Je crois que tes tétons te trahissent belle-maman – Je la tutoie pour la première fois. Elle me vouvoiera toujours – Ils bandent ! Je suis même sûr que tu mouilles comme la salope que tu es et que tu caches depuis si longtemps. »
Elle ne réagit ni à mon tutoiement, ni aux paroles humiliantes. Au contraire, elle soupire un peu plus, colle son dos contre le dossier de la chaise et renverse sa tête en arrière. Elle m’abandonne ses seins, vaincue par ses sens qui la trahissent. Je sais que j’ai gagné et qu’elle est maintenant totalement à moi.
Je roule ses énormes tétons entre mes doigts et lui provoque un premier orgasme. Cette capacité à jouir avec ses seins lui était inconnue, puisque interdite. Son mari n’a jamais pensé à jouer avec des tétons pourtant proéminents et donc attirants pour un homme… « normal ».
Je la fais lever. Elle obéit comme dans un nuage. Je la tourne face à moi, détache la ceinture et fais tomber le peignoir.
« Maintenant, Geneviève, quand tu es avec moi, je veux que tu sois nue !
Mais … Voyons ! Je suis grosse et vieille !» gémit-elle. Elle tente une dernière fois de résister mais ne proteste pas plus et s’abandonne à mes caresses. Ses scrupules de départ ont disparu, elle est maintenant soumise à ses pulsions lubriques. Ce n'est plus la situation qui la gêne. Elle accepte son sort. Elle se cache derrière son physique pour y trouver un obstacle bien mince. Elle n'a plus envie que j'arrête, mais n'ose pas se l'avouer.
Tu n’es pas grosse, tu es ronde. Je veux voir tes gros seins, qui me font bander depuis trop longtemps. Je veux voir et sucer tes gros tétons qui bandent, ton gros cul et tes grosses cuisses. Tu sais que tu es beaucoup plus belle nue qu’avec tes horribles vêtements de mémère sur le dos ! Attention tout de même, pour les autres personnes, surtout ne change rien ! On s’apercevrait bien vite du changement et on soupçonnerait que tu as un amant et les gens chercheraient à savoir qui. Alors, garde tes habitudes et ta façon de t’habiller comme une vieille bigote que tu es. Maintenant, belle-maman, je vais de nouveau te baiser sur cette table.
Oh voyons ! Ne parlez pas comme Ça !
Ce n’est pas ce que tu veux peut-être ? Arrête un peu de faire ta mijaurée ! Tu as envie de baiser, oui ou non ?
N... O… Oui… Mais…
Alors dis-le ! Je veux t'entendre !
Vous êtes un monstre ! O... Oui ! Je veux que vous... me...
Baisiez !
Ce n'est pas possible ! Je ne peux pas dire Ça !
Vas-y salope ! Tu en meurs d'envie !
Oui ! S'il vous plaît ! Bai... Baisez-moi !
Voilà qui est bien, belle-maman ! Puisque tu le veux...»
Je la fais coucher les fesses au bord de la table et je relève ses jambes. Je baisse mon jogging sous lequel je suis nu, pose mon gland sur sa chatte abondamment poilue, et je la pénètre d’un coup. Son vagin est brûlant et dégouline de cyprine.
« Eh bien, ma salope, tu es bien mouillée ! La preuve que tu avais envie de te faire sauter !
Oh oui ! C’est bon ! Que me faites-vous faire ? Ouii ! Continuez ! Baisez-moi fort ! Bourrez-bien votre vieille salope de belle-mère !
Ben dis donc toi ! Quand tu te lâches ! »
En fait, Geneviève ne se rend même pas compte de ce qu’elle dit. Elle est complètement partie et serait elle-même sûrement surprise, de se voir et s’entendre ainsi. Elle si « collet-monté » ne se reconnaîtrait pas dans cette furie.
J’empoigne ses jambes que je tiens écartées pour l’ouvrir complètement. Elle est souple la vieille malgré son âge ! Comme elle le réclame, je la baise à fond. Il fait chaud et Geneviève transpire. Son corps rougit sous l'effort et le plaisir. Elle couine et en redemande. Heureusement, j’ai donné cette nuit. Malgré cela, je suis obligé de m’arrêter plusieurs fois. Je ne veux pas jouir trop vite. Je veux qu’elle demande grâce !
Manifestement, la femelle est en manque et je ne compte plus le nombre de fois où je sens sa chatte se contracter. Ma belle-mère pousse alors à chaque fois, un « OOUUIII » profond avant de se relâcher. Dès que je reprends ma folle chevauchée, elle remonte dans les aigus, avec des « mmmhh », des oui, oui, ouiii. Bref, elle prend un pied énorme, d’autant que je lui travaille ses étonnants tétons et déclenche ses orgasmes à la demande.
Au bout d’un moment tout de même, je ne peux plus tenir et j'éjacule mon sperme au fond de sa matrice gluante.
J’éprouve le besoin de souffler. Je transpire moi aussi comme un fou. Je retire mon tee-shirt pour m’essuyer le visage, le torse et le sexe qu’elle a copieusement arrosés. Mon jogging aussi est trempe de sa mouille. J’essuie également les cuisses, le ventre, les seins et le sexe de ma belle-mère.
Geneviève n’est pas mieux que moi, couchée sur le carrelage de la table rendu glissant, comme cette nuit, ses jambes pendent au bord dans une posture obscène qu’elle ne pense même pas à corriger. Les jambes écartées, elle luit de transpiration et expose sans pudeur sa chatte poilue. Elle est épuisée par ses orgasmes, elle recherche son souffle. Sa poitrine se soulève rapidement, puis peu à peu reprend un rythme normal, entrecoupé de profondes aspirations.
Enfin, elle sort de sa transe. J’ai saisi une bouteille d’eau et j’en avale une bonne lampée tellement j’ai soif. Voyant ma belle-mère se redresser, je lui tends la bouteille. C’est ainsi qu’assise au bord de la table, nue et couverte de sueur elle boit directement au goulot comme je ne l’aie jamais vu faire. Ses gros nichons ballottent, étalés sur son torse. Elle ne songe même plus à se cacher. Son visage est ravagé par les nombreuses jouissances. A la voir ainsi, sans maquillage, elle a pris dix ans, mais parallèlement ses yeux pétillent et démentent cette impression. Sans un mot on se passe et repasse la bouteille jusqu’à la vider.
Nous sommes là, face à face, à nous observer, sans un mot. Geneviève alors se serre à mon cou et m’embrasse fiévreusement. Nous échangeons un baiser profond, mélangeant nos langues et nos salives. Je n’en reviens tout de même pas ! Je baise ma belle-mère et elle aime Ça ! Cette bigote « coincée du cul », en redemande et me roule des galoches accrochée à moi, comme si sa vie en dépendait.
Ce n’est que plus tard que la notion de beau-fils et de belle-mère lui reviendra et lui fera honte.
Un moteur se fait entendre dehors. J’aperçois la voiture du facteur qui arrive. J’entraîne aussitôt Geneviève vers la salle de bain. Le facteur a l’habitude, en effet, de déposer le courrier sur la terrasse et pourrait nous voir.
A l’abri des regards, nous reprenons notre souffle et Geneviève, remise de l’émotion, se cramponne à nouveau à moi pour m’embrasser. Enfin, nous nous séparons.
«Nous avons besoin d’une bonne douche ! Dis-je
Je crois que votre pantalon va devoir partir tout de suite dans la machine à laver ! Mon dieu ! C’est moi qui vous ai mis tout Ça ! » Geneviève, sans être (encore) une fontaine, s’avère avoir des jouissances abondantes. « Il ne faudrait pas que quelqu’un s'en rende compte ! »
Surtout ta fille ! » Dis-je en enlevant rapidement le jogging.
Oh mon dieu ! Ma fille ! Qu’avons-nous fait ? Ce n’est pas possible ! Je suis indigne !
Nous avons fait l’amour ! Ou plutôt, nous avons baisé, et si j’en crois ce que j’ai vu et entendu, tu as beaucoup aimé !
Il ne faut pas… C’est mal ! Je ne peux pas faire ça à ma fille !
Tu veux déjà arrêter et ne plus ressentir de plaisir ? Retomber dans ta vie « gnan gnan » ? Franchement je ne crois pas. Maintenant que tu as goûté au plaisir, tu ne pourras plus t’en passer longtemps » - Pendant ce temps, je la caresse et, atteignant ses seins, je la sens très vite moins résolue. – « Écoute, dis-je. Cela ne peut pas durer, on est d’accord, mais je te propose de continuer un peu, jusqu’à que tu trouves, ou que je te trouve, un mec capable de te faire jouir comme maintenant.
Vous voulez me faire devenir une …
Une pute ? Une salope ? Allez, dis-le ! Une salope ? Tu l’es et tu l’étais déjà avant de le savoir. Une salope, pour toi, c’est une femme qui aime baiser ? Eh bien, tu es une sacrée salope belle-maman ! Une pute ? C’est ce que disent les femmes mal baisées comme tu l’étais jusqu’à hier, en parlant de celles qui profitent de leur corps. Tu es une pute belle-maman ! Donc maintenant, tu vas devenir une vraie salope et une vraie pute ! Ma salope ! Ma pute ! Je t’aiderai à te trouver un homme, un vrai !
Mais… je ne pourrai jamais tromper mon mari !
Ah bon ? Et qu’est-ce que tu viens de faire ? En plus avec ton beau-fils !
Oui, justement, entre nous, c’est grave ! C'est un e !
Pour la morale, peut-être, mais d’un autre côté nous n’avons aucun lien de sang. Tu crois qu’il se gêne ton mari pour baiser et te tromper allègrement ?
Oh ! C’est… C’est vrai ! Ah mais... vous savez ça aussi ?
Tu sais, mis à part dans cette famille où on se voile la face, tous les gens le savent bien et racontent que ton mari a des maîtresses . Franchement, ils ne lui donnent pas tort !
Comment cela ? Les gens savent et approuvent cette situation ? Mon dieu, mais que j’ai honte !
Ce n’est pas à toi d’avoir honte ! Je ne sais pas s’ils approuvent, mais franchement, quand ils voient ton comportement et ta façon de t’habiller, ils le comprennent un peu, ton mari !
Je… Je ne vois pas ce que vous voulez dire !
Parce que tu crois que tu es bandante quand tu es habillée comme une vieille ? En plus, avec tes manières de « grande dame » et ton comportement de bigote !
Oh vous, évidemment, tout ce qui a trait à la religion, il faut que vous vous moquiez !
D’accord sur ce point ! Mais je ne suis pas le seul à te trouver bigote, y compris chez tes camarades cathos. Pour ce qui est de tes tenues vestimentaires, il faut vraiment te voir un peu déshabillée ou à poil comme maintenant, pour découvrir tes attraits ! Je me demande si ton mari te regardait. Rien que tes tétons sont un pousse au viol ! Il s'en occupait ton mari ? Parce que je suppose qu'il y a longtemps qu'il ne te touche plus !
Arrêtez voyons ! Vous...
Ce n’est pas vrai ou quoi ? Quand je vois comment tu décolles quand je te travaille les bouts, je me dis qu'il n'a pas dû souvent te faire jouir ! Bon, pour l’instant, je suis le seul à m’en rendre compte et c’est tant mieux. Écoute ! On aura le temps plus tard pour parler de ça, en attendant viens à la douche Je te rappelle que nous sommes en train de philosopher, à poil au milieu du couloir !
C’est vrai mon dieu… Oui c’est vrai, vous allez me dire qu’il n’a rien à voir là-dedans, mais vous voulez que nous prenions notre douche tous les deux… ensemble ?
Ça aussi, belle-maman tu vas apprendre à aimer. Allez, viens !»
J’entraîne ma belle-mère dans la salle d’eau, nous entrons dans la baignoire. Cela fait tout drôle de s’y retrouver ainsi tous les deux. Autant pour elle que pour moi. On s’observe, puis d’un coup, Geneviève se met à rire nerveusement et m’attire à elle pour m’embrasser. Décidément elle ne s’en lasse pas !
Après ce nouveau baiser profond, elle ouvre l’eau et règle la température. Pour cela elle doit se retourner et se pencher, m’offrant la vue de sa somptueuse croupe. Dans la baignoire, on s’arrose alors en riant comme des gosses. Geneviève est complètement détendue maintenant. Avec le gel, j’entreprends de nous savonner. J’en profite pour passer mes mains partout sur son corps. Gênée tout d’abord, elle se laisse faire petit à petit et me caresse à son tour.
Lorsque mes doigts trouvent son sexe, elle tente bien de me retenir. Mes caresses sur ses seins avec l’autre main produisent l’effet escompté. Geneviève résiste de moins en moins. La douche nous arrose de son eau bienfaisante, bien rincés, je la plaque alors contre le carrelage, relève une jambe, la pose sur le rebord de la baignoire et, pliant les jambes, je la pénètre à nouveau. La position est difficile et assez vite fatigante, mais ma belle-mère ne me repousse pas.
Je la baise ainsi un moment jusqu’à que les crampes me gagnent. Je l’embrasse goulûment et bien sûr, elle répond longuement à mon baiser. A bout de souffle et l’eau se refroidissant, nous sortons de la douche. Nous nous séchons mutuellement avec beaucoup de plaisir et même de gaieté pour Geneviève. Nous passons au salon, toujours nus, en nous tenant par la main, sans qu’elle pense à se rhabiller.
Sur le canapé qui nous reçoit, heureusement qu’il est en skaï vu notre humidité, Geneviève se pâme plusieurs fois sous mes assauts. Je lèche aussi sa moule odorante avalant sa cyprine dont je me régale. Pour l'instant elle ne me suce pas. Nous entrecoupons nos joutes de quelques pauses réparatrices, durant lesquelles, ma belle-mère se confie peu à peu :
C’est vrai, qu’elle s’est mariée assez rapidement, qu’elle n’a pas connu d’homme auparavant. C’est vrai aussi qu’elle a eu ses quatre s de façon rapprochée en suivant le rythme d'un par an. Son éducation et la famille de son mari l’ont enfermée dans ce rôle de bonne mère, bonne épouse, bonne paroissienne etc.…
Jamais elle n’avait ressenti ce qu’elle vient de vivre. Je lui dis de ne pas confondre, l’amour avec le plaisir. Je ne l’aime pas, mais j’aime la baiser. Que je sens en elle des capacités à aller plus loin et à devenir une fieffée salope. Que je vais lui faire découvrir des pratiques destinées à accroître son plaisir et celui de son partenaire, actuellement, moi-même. Elle a quinze ans de plus que moi, mais c’est elle qui est l’élève. C'est vrai qu'il y a autant d'écart entre elle et moi qu'entre sa fille et moi. Quand je le lui fais remarquer, elle s'offusque, me traite de pervers, mais dès que je la pénètre ou la caresse, elle oublie tout.
Alors que nous venons une nouvelle fois de baiser je me rends compte tout à coup, qu’il est presque onze heures et demie, cela fait plus de deux heures que nous baisons !
Branle-bas de combat ! Sa fille et son mari doivent arriver pour midi ! Elle n’a plus le temps de préparer le repas et de s’habiller. Je lui conseille de rester en peignoir et de dire qu’elle est souffrante et n’a pas dormi. Moi je me précipite sous la douche de l’entresol et je m’éclipse de la maison, pour ne revenir qu’après le retour des autres. Je m’arrange pour arriver après ma copine. A la cuisine je retrouve Geneviève assise en peignoir, son mari installe la table et sa fille prend de ses nouvelles.
Elle nous explique, enfin, explique à sa fille, qu’elle ne se sent pas bien. Son visage non maquillé et marqué par la « gymnastique » matinale permet de faire passer facilement la chose.
« Tu ne veux pas que j’appelle le docteur ? Tu n’as pas l’air bien. Demande sa fille.
Non, non, ça va maintenant.
Tu peux aller te coucher on va se débrouiller, tu sais.
Ça va ! Maintenant j’ai un peu faim (tu m’étonnes !) je vais manger et j’irai faire la sieste ensuite ». Je me dis que ma belle-mère est une sacrée menteuse. Elle a vite appris à cacher la vérité sans la moindre hésitation.- Je donne aussi un coup de main pour dresser la table et profite d’un passage près d’elle pour lui glisser « salope » dans le creux de l’oreille, alors que les autres sont à l’autre bout de la pièce. Elle tressaille et esquisse un léger sourire. En passant, j'ai senti son odeur. La salope ne s'est pas douchée. Elle me l'avouera plus tard avoir fait exprès pour se rappeler nos moments de la matinée un peu plus. Il se trouve que je suis assis en face d’elle. La table est étroite dans ce sens-là. Quand je touche discrètement son pied avec le mien, elle a un mouvement brusque, me regardant effarée. Elle jette un coup d’œil à son mari et à sa fille qui n’ont rien remarqué et à la deuxième tentative de ma part m’abandonne son pied avec un léger soupir et un regard qui signifie « je suis à vous ».
La tradition de la maison consistant à se déchausser à l’intérieur, me permet de caresser son pied durant tout le repas. Je remonte même sur sa jambe, atteignant le genou qui s’écarte. Je ne peux aller plus loin sans contorsions qui deviendraient suspectes, mais, dans les yeux de ma belle-mère je note une certaine fièvre, sa respiration s’accélérant parfois. Le repas se passe bien, si ce n’est la réflexion de son mari qui lance finement :
« Eh bien ! Pour quelqu’un de malade, tu as de l’appétit ! » Geneviève ne sait quoi répondre et s’embrouille un peu, aussi je l’aide.
« C’est la preuve que vous allez mieux », mon pied ne quitte pas le sien. Je lui écarte un peu plus les genoux et la regarde dans les yeux. « Sûrement un bruit qui vous a réveillée cette nuit ! Avec ces… chaleurs, il est difficile ensuite de retrouver le sommeil ! Pour moi c’est pareil, j'ai eu du mal à m’endormir cette nuit – je me marre de mes propos à double sens -
Oui, oui ... Vers le matin, heureusement, j’ai réussi à sommeiller. Cela m’a fait du bien. En plus hier soir je n’avais déjà pas mangé » Une fois encore, je remarque la duplicité de ma belle-mère qui s’est bien rattrapée. Sa fille elle-même renchéri pour la soutenir.
« Le principal c’est que tu ailles mieux. Tu peux aller te reposer si tu veux, nous allons ranger.
Je vais le faire ! Dis-je aussitôt. Vous autres, vous pouvez aller au travail, je m’en occupe, j’ai le temps. Cet après-midi, je ne bouge pas, alors, si vous avez besoin Geneviève, n’hésitez pas à m’appeler.
Je vais juste prendre un café avec vous, ajoute ma belle-mère, ensuite j’irai dans ma chambre. Merci. » Elle apprend vite cette salope !
Quelques minutes plus tard, le père et la fille s’en vont et retournent à leurs occupations. Nous nous retrouvons seuls tous les deux, assis face à face en buvant le café. Sans lever la tête je l'interpelle :
« Tu es une sacrée salope de menteuse tout de même !
Voyons ! Ne me parlez pas comme Ça !
Parce que tu ne crois pas qu’inventer une mauvaise nuit et un manque d’alimentation ce n’est pas mentir ? Et n'es-tu pas une salope pour entretenir des relations coupables avec ton gendre ? Je te rappelle que tu te laisses caresser le pied sous la table à quelques centimètres de ton mari et de ta fille !
Je … Pardon, oui. Mais ne dites pas ça comme cela, voyons ! Je suis tout de même...
Une vieille salope ! Il faut t'y habi ! Dis-je en riant. En privé, je te parle comme je veux, parce que je sais que ça t’excite que je te traite de salope. Au fait, je te rappelle que quand tu es seule avec moi, tu te mets à poil.
C’est difficile, ce que vous me demandez. J’ai ma pudeur tout de même ! » Je la fixe intensément sans rien dire. « Bon… D…D’accord, mais ça me gêne ! Vous ne pouvez pas commencer, vous ?
Oh moi, tu sais que cela ne me gêne pas d’être à poil. J’adore ça, mais j’ai envie de te voir nue alors que je suis habillé.
C'est ça ! Vous voulez m’humilier !
Pas du tout ! Mais c’est encore plus bandant de voir une femme, surtout sa belle-mère, à poil dans sa cuisine, quand on ne l’est pas soi-même. Rassure-toi, cela ne va pas durer ! Je vais vite me déshabiller, je suis déjà à l’étroit dans mon pantalon. Tu sais que je n’ai rien dessous et que je bande fort. Allez, vas-y, fais tomber ce vieux peignoir, que j’admire tes formes !
Je … Je ne vous comprends pas. Il y a beaucoup de femmes plus belles que moi, et aussi plus jeunes. Pourquoi moi ?
Toi tu as un petit plus, tu es ma belle-mère et rien que cela, Ça m’excite. Tu es plus vieille que les femmes que j’ai connues. Je dois dire aussi, que quand tu es à poil, tu es super sexy avec tes gros seins et tes gros tétons !
C’est cela ! Ça vous plaît de baiser votre belle-mère, vous êtes pervers en plus.
Parce que, tromper son mari avec son beau-fils, ce n’est pas pervers ? Salope !
Arrêtez de me traiter comme cela ! Dit-elle d’une voix geignarde.
Sûrement pas ! Je sais que ça te plais, que ça t'excite. En ce moment je suis sûr que tu mouilles déjà !
Je …
Dis-moi que ce n’est pas vrai !
Non… Enfin..., oui… Bon, vous avez gagné, mais c’est tout nouveau pour moi, laissez-moi le temps de m’habi et surtout, faites attention tout de même, cela pourrait vous échapper devant quelqu’un.
Ah c’est cela qui t’inquiète ? Le scandale si on découvrait que tu baises avec ton gendre ? Rassure-toi, quand tu es habillée à ta mode de vieille, tu ne donne pas vraiment envie de te baiser ni à penser que tu sois aussi salope. Je te conseille d'ailleurs de ne rien changer, si tu ne veux pas que quelqu’un se rende compte du changement et ne soupçonne quelque chose. Allez, à poil maintenant ! »
Geneviève se lève lentement et retire son peignoir. Cette femme, lorsqu’elle est nue, n’est plus la même. Son port altier et ses formes voluptueuses, lui donnent une silhouette d’odalisque, insoupçonnable sous ses vêtements. Nue devant moi, elle se tourne, puis s’approche lorsque je le lui demande.
J’avance ma main vers son entrejambes, prévenant son recul par une main sur les fesses, je glisse l’autre dans sa chatte. Je constate bien sûr qu’elle est trempée et le lui fait remarquer à son grand désarroi. Elle est debout à côté de moi qui suis assis. Les bras ballants, elle se laisse peloter sans vergogne. Pour accen ma domination je lui présente mes doigts couverts de sa cyprine pour qu’elle sente son odeur. Elle refuse tout d’abord, je plaque alors ma main sous son nez et l’oblige à sentir d’abord, à lécher ensuite ses doigts en les glissant entre ses lèvres qu’elle consent finalement à ouvrir.
« A genoux salope ! Elle obéit aussitôt – Ouvre mon pantalon et sors ma bite ! Elle hésite un peu mais accompli servilement sa tâche. Je me soulève pour qu’elle enlève le vêtement sous lequel elle vérifie que je ne porte rien. – Prend-là dans la main et suce !
Oh... Non ! Pas ça !
Je ne t’ai pas demandé ton avis ! Tu n’a jamais fait ou quoi ?
Si... Une fois, mon mari a voulu, mais je n’ai pas aimé, Ça sentait mauvais ! Ça ne se fait pas voyons !
Alors, tu vas apprendre à aimer et même plus. Elle est propre et je me rase, tu ne risque pas d’avaler de poil. »
A contrecœur, elle saisi ma queue et me caresse doucement. Lui appuyant sur la tête, je l’oblige à avancer sa bouche contre mon gland. Je ne la force pas plus loin, lui laissant le choix et le temps de s’habi.
Je dois dire que la situation est particulièrement excitante et je bande fort. Je suis assis à poil dans la cuisine de ma belle-mère, qui est elle-même nue devant moi, à genoux entre mes jambes et s’apprête à me tailler une pipe.
Finalement, Geneviève ne se fait pas trop prier et je sens très vite mon gland, dans la chaleur de sa bouche. D’abord timide, la fellation devient rapidement goulue, ma belle-mère semble apprécier la chose. Par manque de pratique, son action est imparfaite, aussi, je la guide :
« Prend le gland entre tes lèvres.
Oui, comme Ça.
Maintenant passe ta langue autour; dans le petit trou aussi.
C’est bien !
Essaye d’en avaler le plus possible et retire-toi comme si tu suçais une glace. » Elle applique mes conseils à la lettre.
« Tu peux aussi lécher le long de la tige, sur le frein en dessous du gland.
Prend une couille dans la bouche et suce.
Reprend la pipe et fais rouler les couilles dans ta main. »
Geneviève se révèle une élève douée. Après quelques minutes elle n’a plus besoin de sollicitations. Elle deviendra d’ailleurs par la suite, une experte et une passionnée de la fellation, ne se lassant jamais de pratiquer ce plaisir, le sollicitant même souvent. Elle a passé parfois des soirées entières, quand nous étions seuls, à me sucer alors que je regardais la télévision ou lisais un livre. Je faisais des efforts pour ne pas jouir, mais, devenue adepte de la chose, elle appréciait même d’avaler ma semence et aussitôt, après une première « lampée » elle recommençait son ouvrage. Sacré belle-mère !
Ce jour-là, à la fin de la fellation, je n’ai pas voulu jouir dans sa bouche, elle n’y était pas encore prête, aussi me retirant, je lui demande de s’appuyer sur la chaise, toujours à genoux sur le carrelage de la cuisine, je la prends en levrette. Cette position va se révéler comme sa préférée. En effet, dans ces cas-là Geneviève ne peut s’empêcher de crier fort, elle mouille et jouit aussi très fort, d’autant que je lui travaille les tétons dressés sous ses grosses mamelles pendantes. Elle qui n’avait que peu ou pas connu cette position, devient là aussi « accro ».
Après ce moment de débauche, il était temps de se reposer un peu pour moi aussi. La sieste est profitable à tous les deux, d’autant que nous la faisons chacun dans notre chambre, par précaution.
Cette nuit-là, après avoir « honoré » ma copine, je suis monté boire, toujours nu, mais ma belle-mère n’est pas venue, elle devait dormir profondément.

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